Journal d’un lycéen confiné JOUR #18

Pour s’occuper, on se met au bricolage !

Mais… tout le monde n’est pas ingénieur

Journal d’un lycéen confiné JOUR #17

Aujourd’hui, Louis vous parle de la grande tendance vestimentaire de ce printemps 2020 : LE PYJAMA !

Plus les jours passent, et plus les confinés ne voient plus l’utilité de se coiffer, s’habiller, et encore moins se maquiller.

Surtout avec les cours des gamins, le (télé) travail, la maison, les repas, les douches, etc… alors, s’habiller ? Une perte de temps !!!

Non ?
Si pour toi aussi le pyjama est super tendance, lève la main !

Publié ce 06/04/2020 dans le Ouest-France Orne.

Journal d’un lycéen confiné JOUR #16

Chez Louis, les fenêtres sont les nouveaux moyens de communication !
D’abord il y a celle qui communique avec Bébert, le squelette, ensuite il y a un morpion commencé avec les voisins, puis le rez de chaussée consacré aux smileys pour donner de la bonne humeur aux rares passants !

Journal d’un lycéen confiné JOUR #15

LE MÉNAGE

Il y a quatre cas de figure :

- Ceux dont la maison n’a jamais autant brillé (le ménage est devenu un exutoire et à la fois un passe-temps favori)

- Ceux, qui, comme chez mon compagnon et moi, ont plusieurs enfants, avec des cours à faire suivre, un emploi (en télé-travail ou pas), des repas à assurer… et du coup le ménage et le linge passent au second plan !

- Ceux qui se targuent d’être parfaits, d’avoir plusieurs bras, et de savoir gérer à la fois les enfants, le travail, les cours, le ménage, le linge, et qui préparent en plus un petit risotto aux morilles pour le dîner !

- Ceux qui en avaient rien à foutre avant, et qui en ont toujours autant rien à foutre de leur ménage !!!

—> Alors ? Vous vous situez dans quelle catégorie ?

Journal d’un lycéen confiné JOUR #14

Aujourd’hui la météo morale de Louis n’est pas au beau fixe… comme beaucoup d’entre nous, l’enfermement, la menace d’une maladie mortelle, la tension ambiante, l’éloignement des proches… pèse. Parfois vraiment lourd.

Alors même si dehors il fait beau,
à l’intérieur il pleut…

Journal d’un lycéen confiné JOUR #13

Ce soir, quand Louis a voulu fermer ses volets, il a eu la peur de sa vie ! Un squelette le contemplait de la fenêtre d’en face.
En fait, il s’agissait du squelette d’étudiants en kiné qui pensaient à son bien-être en lui faisant prendre l’air.
Il s’appelle Bébert

Journal d’un lycéen confiné JOUR #12.

Ce week-end, Louis et sa famille sont partis à Paris… enfin, ils ont joué au Monopoly !

Journal d’un lycéen confiné JOUR #11

CES CHATS QUI NOUS NARGUENT !

 » Une prise de conscience suscitée par la situation renversée dans laquelle nous sommes :
des animaux libres dans un monde d’humains confinés. »

Vous êtes d’accord qu’ils nous narguent nos chats, à sortir librement jour et nuit, rejoindre leurs potes, chasser, se dorer la pilule au soleil ?

Pour ma part, mes 4 chats se foutent bien de moi en sortant, sans un regard pour ma misérable personne (leur esclave) et me laissant pour dernière image d’eux, au coin de la rue, leur anus altier.

Publié dans le Ouest-France (page Normandie) du 30/03/2020.

Journal d’un lycéen confiné JOUR #10

Ce temps de confinement brise certains rêves, comme celui de rester tout le temps chez soi…

Entre sa petite sœur adorée qui passe sa journée à chanter à tue-tête et le manque pesant de sa vie au lycée et de ses amis, Louis réalise que maintenant que notre rêve de rester chez nous est devenu réalité, nous rêvons désormais tous de reprendre le travail à l’extérieur !

L’humain dans toute sa splendeur, plein de contradictions et éternellement insatisfait

J’avoue, je suis comme ça.

Publié dans le Ouest-France Orne du week-end 28-29 mars 2020.

Journal d’un lycéen confiné JOUR#9

Déjà 10 jours… et encore pas mal qui nous attendent… !

Après celui de tomber malade, le pire des cauchemars d’un confiné, c’est de ne plus capter Internet !

Parce qu’avec les réseaux sociaux, mails, visios et j’en passe, on est très entouré, même si en réalité on est très seul chez soit…

Bon courage à tous pour supporter vos nouveaux collègues de travail (vos enfants!) et surtout vos maris/femmes !!!

Tant que vous ne vous trouvez pas confiné avec votre belle-mère, c’est supportable
(quelqu’un dans la salle subit ça ?!)

Journal Ouest-France Orne du 27 mars 2020.